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2016/09/15 14:31

J'ai ouvert la porte du monde de la beauté qui s'étend sur le fond de mon ésprit.

“J'ai ouvert la porte du monde de la beauté qui s'étend sur le fond de mon ésprit.”

Minami Fukasaka.

J'ai ouvert la porte du monde de la beauté qui s'étend sur le fond de mon ésprit.

Quand j'avais une vingtaine d'années, j'ai dirigé mon regard en moi.

Là, il y avait les ténèbres.

L'angoisse, la rage, le chagrin et la terreur.

Ces ténèbres qui se constituaient de nombreuse blessures qui me fesaient souffrir.

Je les affrontais.

Je continuais par la suite à marcher de l'avant.

Alors, j'ai trouvé la lueur.

Cette petite lueur se faisait de plus en plus forte et finit par m'illuminer entiérement.

Un beau paysage inégalable est apparu devant moi.

J'ai rencontré un nouveau monde.

Ici, des petites vies s'épannouissaient.

J'ai soudain fortement désiré partager ce beau paysage avec autrui et ai décidé de le peindre.

Je voulais graver cette découverte dans la histoire de l'art comme une preuve de ma naissance dans

cette génération pour la transmettre à la postérité.

2002,

J'ai decidé de me battre contre moi-même.

J'ai cessé de jouer la comédie avec mon caractère.

J'ai rencontré les ténèbres qui exsistaient dans mon intérieur.

Les jours douloureux, de peur et de désespérance me fesaient souffrir.

J'ai peint comme si j'explussais tous ce qui étaient dans mon corps.

Ceux qui m'ont sauvé, c'étaient la bauté de ses petits vies et du grandiose de la nature.

Quand “les être-humains” m'apparaissaient comme le diable, je perdais l'ésperance de vivre et

recourais à la mort,

le clair de lune enrobait mon coeur de son plus fort éclat.

Après la pluie, la goutte qui tombait des petites fleurs qui étaient toujours autour de moi me

rassurait.

Là, il y a l'amour.

Je m'étais dit qu'à condition que je choisisse la mort, cela me permettrait de rejoindre le monde de

l'amour.

Puis j'ai commencé à vivre dans mes rêveries.

A côté de moi, il y avait toujours un ange sage et gentil et j'étais assis sur les genoux de Dieu.

Je parcourais de long en large le monde réel des désespérés et celui de la beauté des rêveries.

J'ai ouvert mille fois la porte des ténébres, j'ai perdu la valeur de soi dans la désespérance.

Je continuais à marcher dans les ténèbres.

J'entendais les cris du despoir.

Les fleurs de cerisier et une belle araignée gigantesque flottaient dans le ciel bleu nocturne.

Le ciel et la terre s'inversaient tandis que j'ñetais en train de marcher sur le chemin.

Je rêvais mille fois que je faisais le tour du monde en montant sur un panier.

Les statues animals en pierre elles prenaient vie et commencaient à bouger.

De belles fleurs fleurissaient au-dessous du ciel rouge tel une flamme.

Je détestais la société et l'histoire dédaigneuses qui imitaient et analysaient.

La symétrie, elle n'existe pas. Tous sont seuls et unique.

Je veux croire seulement en l'énergie et l'impulsion de la création.

Beaucoup d'idées tournaient dans ma tête.

J'avais peint et composé des poèmes afin de contrôler mon exaltation.

Le trait de la lumière apparaissait alors de petit à petit.

La beauté s'était incarnée aux personnes qui paraissaient comme le diable.

J'avais commencé à croire que le monde de la beauté que je recherchais et celui que la société

demandait étaient pareils.

J'avais décidé que, toute ma vie, je ne montrais mes oeuvres qu’à mes amis digne de foi, à Dieu et à

l'ange qui était toujours à côté de moi.

Toutefois, j'ai eu l'impression que je voulais que plus de gens les voient.

J'avais rencontré le monde de la beauté qui était au fond de l'obscurité de l'esprit.

C'était la fusion du réel et des rêveries.

J'ai pu serrer la main du beau monde sans pénétrer le monde des rêveries isolé.

Et j’avais un grand rêve.

C'était le désire de montrer ma découverte de ce beau monde à tout le monde.

Je désirais apporter aux milieux artistiques mes oeuvres comme preuves.

La clef de la ronde porte dormait au fond du coeur de chacun.

Tout le monde possède la clef de cette porte.

Cette clef, c'est affront de soi-même.

Quand je dirigeais le regard vers le monde minuscule et m'y serrais contre, à un moment donné,

j’étais transi par un grand monde.

J’étais illusionné par ce grand monde qui était le fond du monde minuscule serrer par mes bras qui

m'écrasait et m'effaçait.

Par la suite, ce tel beau paysage s'éteignit devant moi.



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“Le pointillé et les couleurs de la vie étincelante”

Je suis une artiste

qui exprime le monde

par un regard pur

et une sensibilité délicate.

Ma conception du monde se voit

dans la variété des couleurs et dans un rendu subtil.

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Petite chronologie de mes créations

1977 Née à Osaka, Japon

-Publication

2006 album de poèms et reproductions “Motto chikakuni kiteyo”

-Prix

2006 exposition internationale de la orchidée

2006 exposition de l'art Shinseiki

2007 prix de l'art acrylique

2007 exposition de l'art Kansai-shinseiki

2008 exposition de l'art Shinseiki

2008 prix de l'art acrylique

2008 prix de TAGBOAT 2008

2009 Wonder sheeds 2009

2015 festival de l'art Monaco Japan 2015, le prix “rose de Monaco”

-exposition

2009 Young Artists Japan 2009

2009 Gallery 798 Beijing

2010 Rufus Lin Gallery of Japanese Art, à Richmond, Canada

2015 Milano-expo pavillon Japon, le festival officiel de l'art “Oasis 2005”, à Osaka, Japon

2015 Milano-expo pavillon Japon, le festival officiel de l'art “Oasis 2005”, à Milan, Italie

2015 Église de La Madeleine, exposition “le paix permanence”, à Paris, France

-exposition personelle

2009 Kinosho-Kikaku “le temps du épanouissement”

2013 Gallerycafé-Shizuka “naissance”

Des oeuvres sont exposés dans des ambassades et des résidences de ambassaseurs/ambassadrices.